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L’écologie et les toutes nouvelles technologies ont souvent été des discussions opposés, à cause de la pollution que génèrent la fabrication des appareils en usine, leur utilisation de tous les jours qui a un effet sur la consommation électrique ( recharge de batteries, consommables etc ), et le recyclage des déchets que ces objets high tech occasionnent. Nous allons attirer de comprendre l’origine de cette pollution numérique et les solutions envisagées. Ce n’est plus une surprise pour personne, le territoire du numérique est un large consommateur d’énergie. Encore plus depuis l’ère de la big data. Pourquoi ? Le numérique repose en général sur la data produite et consommée par ses personnes, et les exemples sont nombreux : les milliards d’heures de vidéos enregistrées et mises en ligne sur des plate-formes de streaming ( Youtube, Twitch etc… ) ;les 000 000 000 de contenus ( photos, vidéos, contenus ) rédigés sur les réseaux sociaux en permanence et chaque jour ( Facebook, Instagram, Twitter… ) ;

Alors que l’on estime une multiplication par quatre de la demande en solutions IT pour 2020, l’impact économique d’une telle production est soulevé, et plusieurs hypothèses sont émises. Ainsi, l’arrivée du cloud computing, stockage à distance, serait pour certains la solution environnementale dédiée à la filière info. grâce à la mutualisation des infos dans des serveurs externes pourvus d’une bande passante à la fluidité sans faille, chacun, spécifique ou professionnel, peut filmer, voir des données ou utiliser des logiciels, optimisant les coûts par rapport aux systèmes traditionnels. Le poste de travail est dirigé en extérieur et il n’est plus nécessaire d’acheter une application pour pouvoir l’utiliser. L’informatique dans le nuage est par conséquent plus économique grâce à son évolutivité. son prix dépend de la durée de l’utilisation et du service demandé ce qui ne demande aucun financement avant mais va demander une adhésion de la part du public et des entreprises qui devront, avant de se lancer, se faire une idée de la rentabilité d’une telle solution par rapport à l’achat du logiciel.

C’est un espace de stockageen ligne sur lequel vous pouvezmettre vos fichiers, pourles archiver, de produire sauvegardes, ou les donner. Mais concrètement, ce sont des énormeshangars pleins de centaines de serveursqui tournent 24h/24 toute l’année. Apple, Microsoft, Amazon, Google, Facebook… et beaucoup d’autresfonctionnent avec le cloud.

Les codeurs ( et leurs clients ) peuvent aussi apporter leur pierre à l’édifice. Cela passe par le développement de sites plus “légers” en se concentrant sur les fonctions nécessaires. ensuite en optant pour des contenus moins gourmands, des images et des vidéos moins lourdes et des contenus plus petits. Supprimer des contenus anciens et en plus peut aussi permettre d’alléger l’empreinte carbone. Côté infrastructures, plusieurs avancés notoires furent faites depuis ces dernières temps, notamment suite à un rapport de Greenpeace qui dénonçait l'utilisation des énergies fossiles pour l’alimentation des data centers. Google, Facebook ou bien encore Apple ont beaucoup investi dans les énergies renouvelables. Plusieurs projets commencent à émerger pour retrouver la chaleur produite par les data centers pour chauffer des immeubles mais également des piscine.

Les grandes sociétés qui les cosomment cherchent également à réduire leur effet sur la planète. Elles construisent les data centers au nord pour jouer du froid naturel. Facebook s’est installé en Suède, Google en Finlande, Microsoft planche sur un data center sous la mer, refroidi par l’eau et alimenté en électricité par les courants marins. Autre piste : exploiter la chaleur de ces centres. le défi est grand car la chaleur voyage mal. Les initiatives conservent encore marginales. En Seine-et-Marne, l’eau d’une piscine extérieure et des bureaux sont chauffés grâce à un data center. Le groupe Casino en a installé dans ses entrepôts vides.

Pour les professionnels. Les adeptes du cloud computing citent le potentiel d’économies comme premier argument. La capacité d'accumulation et le pouvoir de calcul sont adaptées automatiquement si nécessaire des utilisateurs. La demande est automatique, la réponse est instantanée. Le cloud offre une puissance de calcul et d'accumulation élastique, facturées selon le temps d'usage. Allocation des ressources : elles sont mises à disposition de façon souple selon les besoins de l’entreprise. On paie à l’usage et sans avoir à réserver les ressources à l’avance. Environnement : vu le stockage sur le web, le cloud permet de réduire l’empreinte écologique des sociétés. Pensons aux coûts d’électricité pour faire tourner la climatisation destinée à refroidir les serveurs d’une entreprise !

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