Les conseils de Yves

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Le numérique représente aujourd’hui 4 % des gaz à effets de serre donné chaque année. Il impacte lui aussi la nature : de la conception des objets électroniques à la gestion des données par les data centers en passant par les infrastructures réseaux ( antennes 4G, wifi ). c'est la raison pour laquelle, même si organiser des évènements éco-responsables est un premier pas important, vous pouvez aussi prendre en compte avertir à l’impact écologique du numérique auprès de vos publics mais aussi au sein même de votre association. En partenariat avec le REFEDD, cette notice pratique afin de vous permettre d'employer efficacement le numérique dans votre association, tout en interdisant son impact sur la planète.

Peu de gens connaissent la quantité d’énergie utilisée par un hébergement privé tout au long de sa vie. Et pourtant ! Il a besoin d’être alimenté en électricité continuellement, d’un système de rafraîchissement pour éviter toute surchauffe et lorsque les outils sont en fin de vie, ils deviennent des déchets dont il faut se éliminer, mais qui ne disparaîtront jamais. Le Cloud a relevé le challenge de rationaliser et simplifier la gestion des plateformes IT et au passage, de rationnaliser aussi la consommation énergétique pour aller vers le développement solide. Il a ainsi tente de plus en plus d’entreprises.

La dématérialisation est-elle écologique ? Avec le numérique, est-on écologique ? À l’heure où se multiplient les alertes sur la santé vacillante de le monde, notre data visualisation dédiée aux chiffres clés de la pollution numérique le démontre : il y a sos à agir, du côté individus comme des organisations. Ce dossier explore les initiatives ' vertes ' et les bilans énergétiques, notamment dans les domaines du matériel informatique, des logiciels et des data centers et vous invite qu'il faut effectuer chaque jour 10 conseils écoresponsables.

La durabilité des infrastructures permet aussi de mieux maîtriser l’empreinte carbone de toutes entreprises. Cette perennité se traduit à la fois dans la création d’infrastructures performantes et peu énergivores, mais aussi par la conception de ses composants. Ainsi, appeler des nouveautés avancées de rafraîchissement, et des systèmes de distribution d’électricité à fragiles pertes permet de réduire de 70% la consommation énergétique de nos Datacenters ( par rapport à l’énergie qui aurait été consommée en l’absence de nouveautés de rendement énergétique ). S’agissant de l'élaboration des infrastructures et des composants, il est essentiel d’avoir recours à des produits et matériaux évalués et privilégié au regard de leurs particularités environnementales telles que le niveau d’efficacité énergétique, l'aisance d’entretien du produit, son potentiel recyclable, la crédibilité des matériaux ou aussi ses capacités d’amélioration.

Souvenez-vous, il y a encore près de dix d’année, le Green IT, à la fois contrôle et réduction de la consommation énergétique, mais aussi comportement sociétal visant à promouvoir les énergies ‘vertes’ et renouvelables, était assez dans tous les esprits. Et puis, la crise s’est posée, et les préférences ont changé. L’objectif n’était plus d’être écoresponsable, mais bien de réduire les coûts, voire même de se reproduire pour les plus fragiles ou pour les entreprises soumises au dictat ce certains investisseurs. Et peu importe la démarche ‘green’, celle-là est au deuxième plan.

Pour les professionnels. Les adeptes du cloud computing citent le potentiel d’économies comme premier argument. La capacité de stockage et la puissance de calcul sont adaptées automatiquement si nécessaire des utilisateurs. La demande est automatique, la solution est immédiate. Le cloud offre une puissance de calcul et de stockage élastique, facturées selon le temps d'explication. Allocation des ressources : elles sont mises à disposition de manière souple selon les besoins de la société. On paie à l'utilisation et sans avoir à réserver en ligne les ressources à l’avance. Environnement : vu l'emmagasinement sur le web, le cloud permet de réduire l’empreinte écologique des entreprises. Pensons aux dépenses d’électricité pour faire tourner la climatisation vouée à refroidir les serveurs de toutes entreprises !

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