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L'expression « expansion pérenne », omniprésente dans les médias et la charte, semble tenue vu que évidente de ce fait qu'elle porte 2 obligations hétérogènes impossibles à appliquer sans aller à pas lourds à l'une des 2. Ce paradoxes n'est que la finition de l'acceptation pour les aveugles d'un postula factice beaucoup plus ancien qu'Aristote avait déjà dénoncé puisque l'obtention la plus contraire à la nature : « l'argent ne fait pas de petits ». En effet, s'il est plus que possible pour une population humaine d'évoluer vers un équilibre, cela ne l'est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt pour laquelle croissance continue et génération d'inégalités sont des forces structurelles. Le présent le post dénonce cette aberration du « forcément plus » sous prétexte que unique mesure facilement possible et identifie ce qui dans notre économie fonctionne déjà sans usure et qu'il convient de porter en vue d'une développement vers l'économie pérenne.tapez ici une modification initiale de textes ou de paragraphes que vous désirez bosser avec l'outil. l'avantage sur le déterminant, encore appelé « dégradation », donne l'opportunité à un unique compte bancaire à 5% de siphonner toutes les de la terre en quelques millénaires. Un fonctionnement aussi dangereux est un outil de pillage massive s'il devient essentielle en plaisant l'investissement au prêt à intérêt. Dans ce cas, l'absence de croissance veut dire l'impossibilité de régler l'intérêt, un défaut d'investissements puis blocage économique. Un fait aggravant est bien sur de ne installer que là où est un plus avantageux. Par ce menace, individus, entreprises, collectivités et population non autonomes deviennent des ressources au service d'une croissance infinie. On remporte ainsi précisément le contraire d'une économie maîtrisée au service de l'homme. Cette dérive est auto-entretenue par les par intermittences qu'elle engendre. En cas de guerre, le développement est entretenue par l'industrie d'armement et de recouvrement. Raser les forêts antique et vider les océans offre non seulement le maximum de butins immédiats et aussi la certitude des marchés supposés d'élucider l'appauvrissement à long terme ainsi généré ! La notion d'utilité disparaît faute de référence, quelque soit si le extension engendre désordre du moment où il y a croissance. L'ingénieur et le maquettiste qui créent de l'obsolescence programmée, le financier qui crée des articles graciant en permanence plus sont importants dans un tel système car ils permettent la pérennité de l'emploi dans une compétition mondial pour le développement. Tout chiffre d'affaire non augmenté est inutile. Dans ce contexte, l'envie de évaluer l'homme « nocif » débouché à plusieurs erreur. Cela signifierait que les caractéristiques d'un activité sont celle des éléments qui le composent et que son société n'est remise en cause. Ce serait aussi l'occulter que ce activité produit notre propre égarement. En effet, avec de s'avérer être évalués et promus sur des conditions de croissance et de constant dépassement on finit par penser les plus récents légitimes et à nous régler des impossibilité que cela engendre. Qui affirmerait que le militant pour le développement pérenne, un enfant qui se projette dans la mesure où un futur Zinedine Zidane ou les galerie de tous pays qui s'identifient aux riche de mythe des séries télévisuelles soient intrinsèquement nocif alors qu'ils sont, sous prétexte que tous, imprégnés de modèles paradoxaux depuis leur jeunesse. Sortir de cette aberration collective du « systématiquement plus » requiert la guérison d'une référence morale où n'est pas une course vers l'exception.La question des déchets permet une vision intéressante et concrète du extension durable. En effet, elle cristallise les problè‑ mes de protection de l'environnement ( et également les problèmes sociaux ou éco‑ nomiques liés ) sous une forme directement perceptible‑ : chacun de nous publication cha‑ que jour des chute, sait ce qu’est un benne d’ordu‑ res avec son personnel et peut aussi au quotidien collaborer soit à une meilleure gestion ( mise à la coffre, tri ), soit à une disqualification peu respec‑ barbacane de l’environnement.La gestion durable des chute peut être déclinée en plusieurs partie, en règle générale de plus en plus vertueuses ( dans la même mesure ou proportion de l’avancée ), mais avec par contre des bizarrerie ou fausses vertus qui amènent à gérer une grand prudence dans les propositions d’actions généralisées et dans les actions d’information du public. Tout remarquablement, il convien‑ dra d’éviter les propositions d'agrandissement géographique ou la généralisation qualitative et sim‑ ple de solutions qui paraissent idéales.L’économie est le moteur du expansion durable car elle permet l’amélioration des paramètres sociales, en prenant en compte les contrariétés que pose la sauvegarde de l’environnement. Le moyen entre ces trois caractéristiques engendre les trois caractéristiques du extension durable : équitabilité, praticabilité, vivabilité. Le extension durable comporte des enjeux pièce et globales, qui sauront être résolues en ruminant le extension globalement, tout en efficace ponctuellement.Fondamentalement, le développement durable vise à accroître le jouissance de l'homme en tenant compte des contraintes environnementales et des actif, afin de ne pas jongler une perte de ce jouissance dans le futur, notamment étant donné la fragilité environnementale des organisations mais pas uniquement. Ainsi les questionnements d’inégalités et de justice sont très présentes dans cette notion. Comme l’affirme le 1er fonctionnement de la Déclaration de Rio : » Les individus sont au cœur du développement pérenne «. Le respect de l’environnement est de ce fait utilitaire pour le développement pérenne, et non une valeur en soi.