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si vous connaissez un peu les mangas, en lisez, ou visualisez des animés, vous avez sans doute noté qu’il n’existe pas « un » féminin manga, mais un avec les autres de modèles, adapté à chaque auteur, qu’on observe sous cette étiquette. Des formats les plus simples et trop mignons en passant par les plus réalistes ou les plus énergétiques, il y a là un certaine éventail de variétés envisageables. Pour aborder, le style manga a évolué d'années en années. Depuis ses premiers pas, jusque-là, nous pouvons noter une évolution sensible dans les supports et le style à véritablement parler. D’abord très influencé par la plantation étasunienne et Disney, il s’est peu à peu mélangé au style artistique asiatique pour aboutir aux mangas que l’on connaît depuis une ou deux décennies. Ce sont ces modèles plus récents sur quoi je m’attarderai aujourd’hui.Pour identifier une empreinte des adolescents et adultes mangas de l'univers, il faut revenir au beau milieu du XIIe siècle et dérouler les 4 rouleaux d’emakimono intitulés ' Chojujingiga '. On y distingue des animaux qui adoptent des forme humaines pour particulièrement s'entrainer au sumo. L'humour est de ce fait déjà la humeur principale du manga. Cependant, on toujours pas de manga. Il faudra tenir pour la fin du XVIIIe siècle de façon à ce que le mot se généralise, particulièrement grâce aux modèles prochains : Mankaku zuihitsu ( 1771 ) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai ( 1798 ) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo ( 1814 ) de Minwa Aikawa. En 1814, Katsushika Hokusai présente son Hokusai Manga, une oeuvre où il relate la vie du peuple à Edo. si l’appellation manga est de ce fait usité de façon régulière, sa définition est plutôt multiple. Selon les différentes traductions, le manga est à la fois une image maladroit, une épure particulier voire une caricature. Depuis le 20e siècle le terme va de paire de bande dessinée suite à l'afflux épais d'albums au soleil levant.Le yonkoma continuera de captiver avec Mes voisins les Yamada ( 1991 ) de Hisaichi Ishii, adapté des années une autre fois au restaurant par la salle Ghibli. Des films puisque Azu Manga Daioh ( 2004 ), K-On ( 2007 ) ou encore Lucky Star ( 2001 ) en sont d’autres enfant plus récents. Mais dès Sazae-San, l'abc sont posées : de la peinture réaliste en priorité, beaucoup d’humour et un étagère commode. De même, les apartés en fin de volume que d'un grand nombre mangakas ont recours à pour donner avec les lecteurs sont, eux aussi, des yonkoma. Nul doute que le succès de Sazae-San y est pour beaucoup : en effet, l’anime de 1969 est traditionnellement en cours de diffusion et compte… plus de 6 000 épisodes.Cat's Eye est l'une des premières grandes séries de Tsukasa Hôjô, avant City Hunter ( Nicky Larson ) puis spouse and children Compo ou Angel Heart. Écrivant déjà les lignes de ce qui sera le féminin de le créateur, l'histoire met en podium un cadre classique sans pouvoirs spéciaux ou évènements surnaturels. La force de Cat's Eye repose sur son trouble fabuleuse dans un jeu du chat et de la souris, finalement très bonhomme. Mais la gestion de Hôjô sur la conception des petits personnages et le rythme constamment inhabituel ont leurré l'attention des lecteurs, dans une atmosphere très marquée par les années 1980. Le mangaka affinera son style dans la même mesure ou proportion de sa vie, sans en aucun cas défaire cette œuvre référencielle.Elevée à la bande-dessinée franco-belge, la France a du mal à prendre le bordure du manga. Au départ des années 70, cela est dans le guide expérimenté sur le concurrence Budo Magazine Europe qu'il faut d'aller pour découvrir de courtes dispute de manga traduites. Le bande dessinée Cri qui tue fait également parfaitement la part belle au manga en promettant particulièrement Golgo 13. L'un des premiers déclics vient du succès de l'animé Candy qui poussera des éditeurs a flanquer le manga et à le publier. Succès relâché ! Les années 80 seront une flopée de tentatives de percée du manga en France, mais inutilement et cela malgré la clarté de Mangazone, le 1er fanzine d'information sur la bd japonaise.Contrairement à ce que l’on peut penser, Kitarô le insupportable est en fait… une comédie. Shigeru Mizuki réalisé son personnage bouée en 1959 et connaîtra un grande succès au soleil levant, sous prétexte que en témoigne ses nombreuses adaptations en changeant et en film ( le dernier mentionné long métrage date tangent de 2008 ). Le étalage et la mise en page du mangaka sont plutôt habituels, la force de mueck se situant plutôt dans ce qu’il est parvenu à faire du mythe des monstres japonais. Tout en leur ramenant un design moderne ou outré, ou jubilant, il va disputer à ses désordre et ses protagonistes une dimension folklorique changeant de la nébulosité à la nouveauté.
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